J’ouvre les yeux et la lumière est si blanche que je me sens bien.
Les oiseaux m’amusent, ils se disputent encore un solo qui ne viendra pas.
La chaleur caresse ma peau et je m’élance parmi la foule.
Je n’entends ni la musique, ni les fragments de voix.
Je n’entends que ma joie et ne voit que lui.
Encore un matin au paradis.